MADAME

MONSIEUR

Mme et San Sebastian, ce fut le coup de foudre. En une journée, cette cité balnéaire au charme Belle Époque a réussi à dévoiler ses atouts, malgré le monde du mois d’aout. Plage, surf, gastronomie, animation des rues, boutiques, parcs verdoyants, tout est là pour que vous passiez un week-end de détente. L’apothéose étant le repas dans un des nombreux spots gastronomiques basques (Voir Ni Neu ici).

Les points forts de Donostia :

Arpenter le Parte Vieja, vieux quartier
Au pied de l’Urgull et entre le port et l’embouchure de l’Urumea, d’étroites venelles piétonnières s’animent et déploient leurs appâts : c’est ici, que Mme a goûté aux joies des bars à pintxos. Les prix varient d’un bar à l’autre ; les plus modernes sont les plus chers. Bâtiments historiques, palais et églises donnent le ton à cette ballade dans la bonne humeur basque.

Prendre un bain de baroque !
Plongez dans la folie du baroque et de ses extrêmes churrigueresques, (du nom de 2 frères architectes)  typiques de l’Espagne, en pénétrant dans la Basilique de Santa María del Coro. Un délire architectural mêlant baroque, éléments gothiques et néoclassiques.

Humer l’iode de l’océan
Une ballade s’impose le long de la Concha, cette baie magnifique, nichée entre deux rochers, les monts Igeldo et Urgull. D’un côté le vieux port aux maisons de pêcheurs colorées, et de l’autre, des immeubles élégants du 19e siècle. On y flâne au marché au poisson, on s’y baigne. Levez la tête, un christ au sommet de la colline l’Urgull vous bénit.

Café et pastelerias
Sur la grande avenue, Mme n’a pas résisté à la vénérable enseigne Oyarzun, glacier et pâtissier. Le service des dames du comptoir, le café, et les irrésistibles mini éclairs (plusieurs parfums). En prime, la terrasse à l’ombre.

M. flâne. Au détour des rues étroites et ombragées, il tombe sur des commerces d’artisanat, des fringues, des bars servant des tapas (mais ici on appelle cela des pintxos (le x se prononçant ch)). La ville vit au rythme de la dureté ou clémence du soleil, le milieu de journée est dédié à la sieste ou au bain. Les commerces restent accessibles selon le volume de chalands qui déambulent tard en soirée.

Olé l’harmonie, Place de la Constitution
Dans le quartier historique, cette place rectangulaire est une ancienne arène, elle arbore encore les numéros des loges sur les façades. Elle offre une belle unité architecturale classique. Vivante, idéale pour prendre un verre ou écouter un des concerts de la Semana Grande.

Nager… molo.
La plage de sable de la Concha est noire de monde. Eau très calme, la baie est protégée par le relief, un port de plaisance y a même pris place. On nage vers les plateformes qui proposent plongeoirs et toboggan. Farniente et sieste quand on sort de l’eau.

Grimper au Mont Igueldo.
Préférez le funiculaire centenaire à la voiture pour grimper découvrir un panorama stupéfiant sur la Concha et la ville. Un parc d’attraction vous attend au sommet, désuet en diable.

Surfer à poil !
La plage Zurriola attire les surfeurs, en raison de ses bonnes vagues. Plus trépidante, plus jeune, c’est aussi une des rares plages naturistes urbaines. De quoi profiter de la nature quelque soit l’occasion. 

Couteaux
De belles lames, des couteaux de berger, des manches en corne, gravés de la croix basque. Il y a pour les amateurs de couteaux mille tentations dans les commerce d’artisanat du centre ville.

Voir aussi :

Où découvrir la gastronomie basque à San Sebastian, pour moins de 35 euros ? Au Restaurant Nineu.

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